"Face à cette matière, à ces questions sur l’intime et l’environnement ouvertes par les créations proposées dans l’espace, l’on remet en cause sa propre place par rapport aux problématiques qui touchent le paysage tunisien, mais, cette fois, au regard de gestes initiés par la voix d’artistes aux visages multiples. Ceux-ci n’offrent pas un unique devoir de mémoire par rapport à un lieu, une atmosphère ou des souvenirs, mais une véritable volonté de dialogue et d’échange, de révélation d’un pan que trop dissimulé, cette fois non pas imposé mais ouvert sur un miroir offrant des lectures plurielles et décloisonnées, en mouvement constant."